13 Oct
13Oct

Aujourd'hui, nous sommes à Kirkenes, la frontière russe se trouve à quelques kilomètres

.Nous avons fini notre périple aller, maintenant nous retournons à Bergen, toujours par les fjords, avec d'autres paysages puisque nous ne prenons pas toujours la même route pour redescendre. 

Il est 9h du matin, nous sommes le septième jour, et Dieu créé la femme, jajajajaja. non c’est une blague, nous avons prit l’excursion pour aller jusqu’à la frontière, le bus nous attend. Ils ont une ponctualité incroyable, sur tout le parcours, tout était parfaitement organisé en horaires et en temps

Le temps est agréable, un peu frais, mais pas froid du tout. Ce qui est surprenant, maintenant, c’est la quantité d‘arbres qu’il y a, ces derniers temps, les montagnes étaient plutôt désertique, que de la pierre. Il est vrai que nous étions en bord de mer, alors que Kirkenes est déjà un peu retiré du climat rude de la mer de Béring.En premier lieu, nous allons visiter la ville, elle est petite, donc il y a peu de choses intéressantes à voir sauf un peu d'histoire.


 Durant la guerre 39 45 Les allemands on envahit les pays scandinaves, afin de pénétrer par ce secteur sur la Russie, cachons bien leur jeu puisqu'ils avaient signé un accord de non agression avec Staline. Kirkenes, était un point stratégique pour eux pour tout le ravitaillement donc ils ont construit un blockhaus de 300 m de long à plus de 7 m de profondeur dans du granit. Sa construction dura trois ans, ils l'ont terminé en 44. Alors que la guerre finissait

.Visite obligatoire de 10 minutes avec projection d'un documentaire pour se souvenir.La région a donc été libéré par les Russes, et maintenant on leur fait la gueule tout ça pour un petit ukrainien et une europe débile

La frontière russe est fermé depuis quelques temps, ce qui est bien dommage pour les commerçants et les affaires en général. Les russes venaient s'approvisionner en différents produits et les norvégiens aller acheter l'essence en Russie qui était beaucoup moins cher et d'autres choses. Le perdant, c'est toujours le petit.

Le bus pousse jusqu'à la frontière, naturellement nous nous arrêtons à 100 m de distance de la frontière norvégienne. En tant que piéton, nous ne pouvons aller plus loin. Entre la frontière norvégienne et la frontière russe dont nous voyons les bâtiments à environ 300 m, il y a un no man's land

.Ce sont la couleur des bornes qui séparent les deux pays, jaunes Norvège, rouge et vert, Russie. Les gardes côtes norvégiens sont également en jaune.

Dans les bus norvégiens, la ceinture, même pour les passagers est obligatoire, vous risquez jusqu'à 500 € d'amende.


Kirkenes se trouve sur la côte nord-est de la Norvège, le long du fjord de Varanger. C'est la dernière grande ville norvégienne avant la frontière russe, située à environ 15 km à l'est.

 La population de Kirkenes est d'environ 3 500 habitants. La ville est le centre administratif de la municipalité de Sør-Varanger. Kirkenes a une histoire marquée par son rôle stratégique pendant la Seconde Guerre mondiale et la guerre froide en raison de sa proximité avec la Russie. Elle a été largement détruite pendant la guerre et a depuis été reconstruite. L'économie de Kirkenes repose principalement sur l'exploitation minière (notamment le minerai de fer), la pêche, et le tourisme. La ville est également un port important pour le trafic maritime en mer de Barents. Kirkenes attire les visiteurs pour son environnement naturel préservé, ses possibilités d'observation des aurores boréales en hiver, et son offre d'activités telles que la pêche, les safaris en motoneige, et les visites culturelles. Kirkenes est accessible par avion via l'aéroport de Kirkenes-Høybuktmoen, qui propose des vols réguliers vers Oslo et d'autres villes norvégiennes. La ville est également desservie par des bus et des ferries, et elle est reliée au reste de la Norvège par la route E6. En résumé, Kirkenes est une ville norvégienne dynamique et stratégiquement importante, offrant non seulement un accès à la nature sauvage de l'Arctique mais aussi une histoire riche et des liens culturels avec la Russie voisine.

Commentaires
* L'e-mail ne sera pas publié sur le site web.